Le judaïsme permet-il le don d’organe pour une transplantation ?

Don d'organes


Le don d’organe après un décès relève du principe fondamental de pikoua’h néfèche, c’est à dire de sauver une vie, qui est explicitement recommandé dans la Torah : « Vous observerez mes lois et mes statuts, parce que l’homme qui les pratique obtient, par eux, la vie » (Lévitique 18 : 5) et « J’ai placé devant toi la vie et la mort, le bonheur et la calamité ; choisis la vie ! et tu vivras alors, toi et ta postérité » (Deutéronome 30 : 19). 
Ainsi le don d’organe devrait être encouragé en prenant soin d’être totalement assuré que le donneur est décédé selon les critères de la Hala’ha. Il est recommandé de posséder une carte de donneur pour éviter toute réclamation légale ou hala’hique après le décès du donneur.


Toutes les tendances du judaïsme actuel s'accordent à dire la même chose: le don d'organes n'est pas seulement permis, c'est une mitsvah.

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